La Ferme du lycée agricole de Somme Vesle particpe à une action nationale d'évaluation de la biodiversité du sol. Les Lombrics ont été retenus comme indicateurs de cette biodiversité. L'action, démarrée en 2012, consiste à multiplier les comptages sur le territoire afin de constituer une base de données suffisamment fournie pour permettre les interprétations. L'enjeu est de déterminer l'impact des pratiques et des choix culturaux sur les populations lombriciennes et, plus largement, sur la biodiversité des sols. Le protocole d'évaluation retenu a donc été simplifié pour permettre son application par le plus grand nombre : un peu de moutarde, un peu d'eau, on touille, on arrose et on attend ! Puis on compte les lombrics qui sortent de terre et on détermine son type (anécique, endogé ou épigé) et son âge (jeune ou adulte).

Sur le lycée ce sont 6 classes qui se sont mobilisées en 2012 pour effectuer ce comptage (1ère et Term Bac Pro CGEA, Term STAV, 1ère S, BTS APV 1ère et 2ème année). Les BTS 2ème année ont suivi une formation à La Chambre d'agricutlure de la Marne d'une 1/2 journée puis ont encadré les groupes d'élèves des autres classes.

Sur La Ferme ont été comparées différentes situations : conduite intégrée / conduite "normale", avec et sans apport de fumier, avec et sans CIPAN, bande enherbée / culture, différents types de sol.

Malheureusement, les conditions climatiques particulirèes du début de l'année 2012, avec un froid important et tardif, ont empêché le sol de se réchauffer suffisamment. Les lombrics n'étaient donc pas suffisamment actifs pour que les mesures soient représentatives. Seuls une faible partie des Lombrics présents sont remontés. Ont été ainsi dénombrés entre 0 et 10 lombrics/m². Malgré tout, il semblerait que les apports oragniques et les bords enherbées leur soient favorables. Par contre, on n'a pas noté de relles différences en fonction de la conduite (intégrée ou pas) ou du type de sol.

Depuis 2012, chaque année, des élèves participent au protocole national et réalisent des comptages sur différentes parcelles de l'exploitation. Les données sont remontées au niveau national, à l'observatoire agricole de la biodiversité.

La Ferme du lycée agricole de Somme Vesle particpe à une action nationale d'évaluation de la biodiversité du sol. Les Lombrics ont été retenus comme indicateurs de cette biodiversité. L'action, démarrée en 2012, consiste à multiplier les comptages sur le territoire afin de constituer une base de données suffisamment fournie pour permettre les interprétations. L'enjeu est de déterminer l'impact des pratiques et des choix culturaux sur les populations lombriciennes et, plus largement, sur la biodiversité des sols. Le protocole d'évaluation retenu a donc été simplifié pour permettre son application par le plus grand nombre : un peu de moutarde, un peu d'eau, on touille, on arrose et on attend ! Puis on compte les lombrics qui sortent de terre et on détermine son type (anécique, endogé ou épigé) et son âge (jeune ou adulte).

Sur le lycée ce sont 6 classes qui se sont mobilisées en 2012 pour effectuer ce comptage (1ère et Term Bac Pro CGEA, Term STAV, 1ère S, BTS APV 1ère et 2ème année). Les BTS 2ème année ont suivi une formation à La Chambre d'agricutlure de la Marne d'une 1/2 journée puis ont encadré les groupes d'élèves des autres classes.

Sur La Ferme ont été comparées différentes situations : conduite intégrée / conduite "normale", avec et sans apport de fumier, avec et sans CIPAN, bande enherbée / culture, différents types de sol.

Malheureusement, les conditions climatiques particulirèes du début de l'année 2012, avec un froid important et tardif, ont empêché le sol de se réchauffer suffisamment. Les lombrics n'étaient donc pas suffisamment actifs pour que les mesures soient représentatives. Seuls une faible partie des Lombrics présents sont remontés. Ont été ainsi dénombrés entre 0 et 10 lombrics/m². Malgré tout, il semblerait que les apports oragniques et les bords enherbées leur soient favorables. Par contre, on n'a pas noté de relles différences en fonction de la conduite (intégrée ou pas) ou du type de sol.

Depuis 2012, chaque année, des élèves participent au protocole national et réalisent des comptages sur différentes parcelles de l'exploitation. Les données sont remontées au niveau national, à l'observatoire agricole de la biodiversité.