Drame. Les Sept de Chicago a donc une signification particulière, d'autant plus que le scrutin présidentiel s'ouvre dans quinze jours. De plus, il y a beaucoup de personnages et les deux heures du film ne permettent pas de bien les cerner tous comme il le faudrait pour qu’on s’y attache. Il n'a aucune ambigüité, il ne change pas, c'est un bon gars, il a le sens du devoir, mais on n'explore même pas le dilemme... Il est juste transparent. Parce qu’au-delà des faits historiques, le film aborde les violences policières à l’égard des jeunes, des noirs, des intellectuels, des pacifistes… en bref tout ce qui ne rentre pas dans l’étiquette traditionnelle républicaine. Deuxième film d’Aaron Sorkin après Le Grand Jeu, les Sept de Chicago s’intéresse à un morceau d’histoire de la contre-culture américaine.L’occasion pour le scénariste prodige d’Hollywood (The Social Network, Moneyball) de s’attaquer au film de procès et à l’institution judiciaire américaine« Dreaming back thru life, Your time — and mine accelerating toward Apocalypse » Aaron Sorkin avait écrit la première version de son script en 2006 suite à une visite chez Steven Spielberg qui se disait intéresser par l'histoire. Le film dénonce les agissements du gouvernement en place à cette époque, y compris ceux du juge Julius Hoffman, un homme de loi totalement abjecte et qui ne cherchera jamais à mettre en place un procès équitable. Et sur ce point, le brûlot de Sorkin rappelle un peu le documentaire tricolore Un pays qui se tient sage (réalisé par David Dufresne) sorti fin septembre. Le brillant scénariste oscarisé Aaron Sorkin nous plonge au coeur de ce simulacre de justice et véritable procès politique. Les Sept de Chicago 2020 | 16+ | 2 h 10 min | Films inspirés de faits réels Quand la manifestation pacifique a dégénéré en affrontement violent avec la police, elle a donné lieu à l'un des procès les plus retentissants de l'histoire du pays. Sale époque (Nixon, guerre du Vietnam) où les institutions américaines sont respectables mais les gouvernants pas du tout ! On a même du mal à bien retenir tous les prénoms des protagonistes. Car il ne suffit pas de réfléchir aux conflits politiques fissurant le pays de part en part, mais d'en saisir les dérives systémiques qui les perpétuent. Ce film sous forme de procès qui a pour héros les sept "chefs" des associations de refus d'engagement dans la guerre du Vietnam (les étudiants, les yippies...) nous met vite dans sa poche : casting alléchant (Mark Rylance, Eddie Redmayne, Sacha Baron Cohen, Joseph Gordon-Levitt...) mêlé à un procès totalement inégalitaire, truqué et fondamentalement injuste. Lire ses 1 669 critiques, Suivre son activité Le réalisateur nous replonge en plein cœur des années 60 aux Etats-Unis. Sorkin voulait tellement faire un film dans l'air du temps qu'il en a juste oublié qu'il fallait un réel traitement politique et pas juste une suite de péripéties... Je vous le disais en intro et je confirme : des premiers rôles aux derniers figurants, ils sont merveilleux. C’est ce que suggère l’introduction des Sept de Chicago, le nouveau film d’Aaron Sorkin, son deuxième comme réalisateur, qui retrace le procès des manifestants anti-guerre du Vietnam de la convention démocrate de 1968 à Chicago. Sans que la mise en scène soit folle ou exceptionnelle, Sorkin m'a permis de ressentir ce que vivaient les 8 de Chicago durant un peu plus de 2h. La beauté du film réside d’abord dans la circulation de la parole et la manière dont celle de chaque … Comme aujourd'hui, les institutions sont le terrain d'un conflit sur les fondements même des États-Unis. Aaron Sorkin signe un film de prétoire haletant et engagé, qui peut se voir comme un regard sur l'Amérique de 2020. Percutant. Ces quelques minutes font le portrait des futurs accusés, tout en retraçant l’entrée en … Il y a les accusés, leurs avocats, les politiques et les juges qui jouent tous un rôle plus ou moins pivot mais auxquels le peu de temps imparti leur confère parfois juste un emploi fonctionnel. Qui sommes-nous | En dépeignant ce procès hors norme de l’intérieur, on y découvre les rouages du système et les inégalités qui émaillent cette justice à deux vitesses. Toutes les différentes gauches de l’Amérique se sont donné rendez-vous (les Black Panther, la "coalition nationale anti-guerre", le "Youth International Party" un parti politique anti-autoritaire & libertaire et même les hippies !). Politique de cookies | La maîtrise et le talent de Sorkin demeurent déconcertants. La reconstitution historique de ce thriller politique se révèle passionnante, tout comme ses interprètes. The Trial of the Chicago 7 • Film de Aaron Sorkin • Exclusivement sur Netflix le 16-10-2020• Musique composée par Daniel Pemberton. Jason Statham, Jeffrey Donovan, Contact | Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus. Mais la grève des… Il y avait beaucoup à dire, et manifestement Aaron Sorkin aurait peut-être dû recourir à certains infidélités historiques pour développer une narration plus eurythmique. Gagarine, The Nest, Falling, Suivre son activité Revue de presse | Peut-être qu’un montage chronologique et des retours en arrière auraient été plus indiqués ? Original, Les Sept de Chicago aborde un sujet sérieux, grave, mais il le fait avec un humour injecté d’un sens mordant de la dérision mettant en exergue le pas drôle mais presque d’un épisode plein d’ironie. Les deux heures sont passées à la vitesse de … Une manifestation en marge d’une Convention démocrate à Washington conduit à un affrontement violent entre la police et les différents groupes d’opposants réunis. Récemment sorti sur Netflix, Les Sept de Chicago a su convaincre le public et la critique malgré certains reproches dénonçant son manque de réalisme. 316 abonnés L’enchaînement des événements historiques prend parfois la tournure d’un cadavre exquis. Ce genre de film, il en existe des dizaines chaque année, mais de ce niveau-là ils sont très rares. Publicité | 140 abonnés 36 abonnés Les evenements se sont déroulés aux Etats Unis il y a de celà 50 ans mais le sujet (notamment manipulation des faits, intimidation des suspects) reste malheureusement toujours d'actualité. Mais au-delà de ces quelques défauts qui sautent aux yeux, c’est le sujet du film en lui-même qui ne semble pas forcément traité de la bonne manière. Là il n'y a aucun suspens, on sait qu'ils vont perdre. Sorti le 16 octobre dernier sur Netflix, Les 7 de Chicago réunissait dans un film de procès nécessaire, un casting cinq étoiles. Le choix d'un montage alternant les temporalités ou les tribunes populaires manque parfois d'harmonie et on peut également s'interroger sur la partie consacrée au Bobby Seale, qui est curieusement énucléée du film dans son dernier tiers, alors qu'elle fournit l'une des séquences les plus fortes. L’occasion de découvrir les méandres judiciaires et politiques ayant… Les « 7 de Chicago », c’est le récit d’un procès forcément politique avec un juge partie prenante pour un ordre social suranné qui n’hésite pas à faire ligoter et bâillonner Bobby Seale aux yeux de tous dans le tribunal sans comprendre à quel point cette violence est devenue insupportable devant une forêt de caméras et de micros prêts à en témoigner. Malgré la bonne mouture et le grand plaisir éprouvé à découvrir ce fait important (méconnu en France), on ne voit pas bien en quelle catégorie ce film pourrait concourir : tout est absolument académique, aucune prise de risque quelle qu'elle soit. Critique Netflix. Sorkin n'ose pas faire durer ses séquences, tout va très vite (et tout se ressemble un peu), alors qu'une construction plus audacieuse aurait été d'axer vraiment le film sur des moments précis du procès. 10 abonnés CGU | Tant pis. Le film est ciselé pour nous faire sentir cela : un montage dynamique, une pression constante, des répliques au cordeau et des acteurs vraiment impliqués. Un des meilleurs films de l’année 2020 et un concurrent sérieux pour les … Aaron Sorkin propose un long-métrage très réussi qui fait cruellement écho à l'actualité politique, très enflammée par ses injustices et ses débats idéologiques, qui ne manquera pas de questionner le système judiciaire des États-Unis en mettant en image ses dérives. Les jeunes se rebellent contre les institutions et le gouvernement, un climat insurrectionnel se fait ressentir et c’est clairement cela que nous fait ressentir le film (d’ailleurs, ce contexte si particulier est aussi palpable à l’étranger, pour preuve, le mouvement de Mai 68 en France). les sept de chicago Lorsque la manifestation en marge de la convention démocrate de 1968 tourne à l’affrontement, ses organisateurs sont accusés de conspiration et d’incitation à la révolte. Tout ça grâce à la mise en scène et au pouvoir de la suggestion. Assurément ! Alors je ne connais pas la vraie histoire, mais j'ai trouvé ça d'une paresse terrible. Sorkin n'a même pas repéré les grands moments forts de son récit, c'est une tragédie de voir ce film. Lire ses 3 777 critiques, Suivre son activité 74 abonnés Vladimir Orlowski, Les meilleurs films de tous les temps selon les spectateurs, Les meilleurs films de tous les temps selon la presse, OSS 117: Alerte rouge en Afrique noire Teaser VF. Aaron Sorkin, le brillant scénariste ayant notamment écrit "The Social Network", réalise "Les Sept de Chicago" pour Netflix, film racontant le procès de sept personnages ayant participé à des émeutes contre la guerre du Vietnam en 1968 à Chicago. Avec autant de têtes d’affiche, il était évident que l’ensemble allait faire des étincelles. Politique de cookies | Situé en 1969-1970, initié en 2007, Les Sept de Chicago ne pouvait pas mieux tomber qu’en 2020. Ceci étant dit, parvenir à faire un nouveau film américain sur la guerre du Vietnam qui ne soit pas du multi-déjà-vu, c'est un exploit en soi. Son réquisitoire fait mouche : quand l'Amérique tourne le dos à ses valeurs fondatrices, elle perd son âme. Dommage toutefois que le personnage du procureur interprété par Joseph Gordon-Levitt (et dont on saisit pourtant des contradictions très intéressantes), demeure au second plan. D'ailleurs dès le début Gordon-Levitt bien que procureur (et donc du côté de l'état dans le procès qui vise à condamner des manifestants contre la guerre du Vietnam) est montré comme un bon gars qui fait son devoir mais qui croit en l'innocence des gens qu'il doit condamner. : Le cinéaste mène son procès sans aucun temps mort, tout en restant extrêmement minutieux sur les faits. À ce titre, on rit autant qu'on hallucine devant les scènes de prétoires (qui composent le cœur du film, évidemment), durant lesquelles on assiste aux viols répétés des droits constitutionnels par ceux-là même qui devraient les protéger. Pas inoubliable donc et un peu décevant mais cela reste du cinéma qualitatif et important pour ce qu’il raconte et le devoir de mémoire qui va avec en ces temps troubles. Données Personnelles | Et aujourd'hui c'est pire ! Un procès gigantesque (plus de 150 jours ! Aaron Sorkin nous tient en haleine avec une certaine aisance, en grande partie grâce à cette histoire aussi vraie qu’effarante, avec des images d’archive qu’il égrène ici et là et un casting qui invite au voyage. Au programme de La Critique cette semaine : le nouveau film d'Aaron Sorkin (scénariste de The Social Network de David Fincher, créateur de la série À la Maison Blanche) Les Sept de Chicago disponible sur Netflix (avec Yahya Abdul-Mateen II, Sacha Baron Cohen, Mark Rylance et Joseph Gordon-Levitt) et un état des lieux de … CGU | La force première de « Les Sept de Chicago » demeure en toute logique les dialogues ciselés et impeccablement mis en bouche de Sorkin notamment lors des joutes verbales au sein du tribunal. C’est Michael Keaton qui en quelques scènes salvatrices remporte le morceau mais surtout Franck Langella en juge désagréable et sensiblement corrompu qui nous marque le plus. La beauté du film réside d’abord dans la circulation de la parole et la manière dont celle de chaque accusé [...] se diffuse dans l’espace des autres, comme la découverte d’un secret. Aaron Sankin s'empare d'un sujet réel ppour dénoncer dans un quasi huis clos judiciaire les procès politiques. Seul Bobby Seale sera "absent" du procès (membre des Black Panthers, il dénoncera le racisme du juge, puisque ce dernier se retrouvera privé d’avocat, mais bel et bien présent aux audiences). Une riche mise en images d'un révélateur fait divers. Brillant et percutant. Quand la justice n'est que parodie, quand les accusés ne sont que des exemples dissuasifs que l’État veut donner, quand la liberté d'expression (le fondement même d'une démocratie) est bafouée : voici Les Sept de Chicago. On retrouve dans ce film tout ce qui fait la réussite des oeuvres de son auteur : des dialogues en rafale, un rythme mené tambour-battant ainsi qu'un propos pertinent. "Les Sept de Chicago" est sorti à pic pendant une période charnière des États-Unis. Le 2e long-métrage derrière la caméra du scénariste Aaron Sorkin est sorti cette semaine sur Netflix. Et que dire du juge est une caricature de juge malveillant. Quoiqu'il arrive. Le pays est à fleur de peau, entre l’assassinat de John Fitzgerald Kennedy (en 63), celui de Martin Luther King (en 68) & Bobby Kennedy (quelques mois plus tard), ajoutez à cela, la guerre du Vietnam qui divise de plus en plus le pays, entre ceux qui sont appelés au front et ceux qui y échappent (les privilégiés). Avec Ici non, on a une pauvre séquence avec un filtre dégueu sur l'image qui dure 20s et c'est fini. Histoire d'appuyer bien comme il faut, le film s'attaquera au procès historique de plusieurs figures contestataires à la fin des 60's, alors que l'intervention miliaire au Vietnam déchire l'Amérique. Critique du film La Critique de Les Sept de Chicago : Développé sous pavillon Paramount, Les Sept de Chicago a finalement été racheté par Netflix qui, disons-le d’emblée, s’est payé là l’un des meilleurs titres de son catalogue. Pour Olivier Joyard du magazine Les Inrockuptibles, « Le cinéaste fait un feu d’artifice de points de vue, démontrant que l’altérité demeure toujours une force, surtout dans un même camp. Aaron Sorkin signe le scénario en 2007, et est originellement attaché à Steven Spielberg. Mais en tombant dans le piège de l'analepse Sorkin enlève toute puissance au film. 2667 abonnés Le film est passé directement sur Netflix. Depuis quelques années, la condition des afro-américains est largement évoquée au cinéma. Il est passé à la réalisation avec le thriller réussi et de grande classe sur l’univers du poker intitulé « Le grand jeu » avec Jessica Chastain. Dans ce film historique, l’utilisation des images d’archive est d’ailleurs très importante. Lire ses 1 922 critiques, de Rappel des troupes : Aaron Sorkin, l'un des grands scénaristes contemporains : The Social Network, Steve Jobs, la série À la maison-blanche (Merci, bisous). Derrière la caméra, c'est un festival de talents. Données Personnelles | 44 abonnés Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion. Totalement maître de son sujet, Aaron Sorkin, en racontant l’histoire des Sept de Chicago, fait se télescoper les époques et offre à la notre l’un de ses films les plus éloquents. Besoin de vous faire un dessin ? Plus qu'une simple reconstitution historique, sa résonance avec l'actualité en fait d'ailleurs une oeuvre universelle et intemporelle d'autant plus marquante. Les Sept de Chicago est un drame de 2020 , d'une durée de 129 minutes réalisé par Aaron Sorkin . Difficile d'ailleurs de ne pas voir les rapprochements entre Baron Cohen et feu Abbie Hoffman, qui ont l'un comme l'autre choisi de provoquer pour réveiller les consciences. En regardant "Les Sept de Chicago", je me suis tout de même fait cette réflexion.La fascination envers les procès. Diffusé sur Netflix, le nouveau film d'Aaron Sorkin évoque les tensions politiques et raciales aux Etats-Unis à la fin des années 1960. On voit clairement que le film est fait pour plaire, quitte à donner dans le bon sentiment (le discours final, les épilogues) ou quelques entorses à la réalité, mais cela ne gêne pas vraiment le visionnage, on aurait même préféré qu'il aille plus loin dans le drama, car c'est parfois trop propre (le démarrage laborieux et le personnage Black Panther dont on ne fait rien), car les acteurs sont bons sans pouvoir tirer leur épingle du jeu (peut-être Sacha Baron Cohen, qui s'amuse bien dans son rôle, étant le plus intéressant des sept accusés), et l'on se questionne carrément sur le titre "film à Oscars" que l'on voit fleurir un peu partout. Un film d'autant plus génial dans sa réalisation qu'il consiste essentiellement en un huis clos de prétoire ! Mention spéciale à l’hilarant passage d’un ex-Batman. Tous se réunissent pour un même combat, une même idéologie, mais clairement pas la même organisation, ni approche contestataire. Souvent très hilarant quand il s’envole dans cette ironie acerbe, le film de Sorkin n’en oublie pas de … Peut-être qu’une mini-série aurait été plus opportune. Vraiment pas ! Avouez qu'il y a déjà bien assez pour préparer la saison des Oscars. Le tout est emballé avec la ferveur qu'on attendait, même si le scénariste/metteur en scène n'a ni la maestria d'un David Fincher ni l'effervescence d'un Danny Boyle. Il y a aussi des scènes inutiles comme celles de stand-up avec Sacha Baron Cohen et un final pas aussi émouvant qu’il aurait voulu être. A commencer par Frank Langella, incroyablement nauséeux dans la peau du juge Hoffman. Communiqué de presse - Les Sept de Chicago: Le procès de huit hommes accusés de conspiration lors de la Convention démocrate de 1968. Le film pointe aussi les dysfonctionnements de la justice américaine de l’époque qui existent encore aujourd’hui. 41 abonnés Des hommes de différents horizons et de formations politiques diverses (souvent assimilées à la gauche radicale) qui protestaient contre la guerre du Vietnam. Le récit est plutôt bien construit, centré sur le procès avec quelques flash-backs sur les émeutes. Préférences cookies | Le problème c'est que le film a été tellement dépolitisé avec aucune critique réelle des institutions, du système politique tout traitant vite fait de sujets d'actualité (Black Panther, violences policières) qu'il en devient juste vain. Outre sa dynamique et son appel à la réflexion, le film vaut par ses dialogues que le démentiel casting sert avec brio, chacun conférant du relief à son personnage, même si ceux d'Eddie Redmayne et de Sacha Baron Cohen sont logiquement mis en avant, deux faces d'une même pièce contestataire. Disponible sur Netflix depuis le 16 octobre dernier, Les Sept de Chicago (The Trial of the Chicago 7 en VO) revient sur l’affaire et le procès des « Chicago Seven » à la fin des années 1960. The Trial of the Chicago 7 est essentiellement un drame judiciaire, qu’Aaron Sorkin ponctue de retours en arrière et, parfois, de vraies scènes d’archives. Aidé par un casting exceptionnel, et ayant certainement appris de ses erreurs depuis Le Grand jeu (voir notre critique), le réalisateur ne fait pas dans la surenchère, offrant alors un récit relativement sobre et vraisemblable. Dernier gros point fort de Les Sept de Chicago, son casting. Un film poli et chargé à blanc. ©AlloCiné, Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : 0 892 892 892 (0,34€/minute), Avec J'aime bien Sorkin comme scénariste, mais alors ce film là qu'il réaliste lui-même, c'est vraiment pas bon... Bon déjà j'ai un problème avec la distribution avec deux acteurs que je déteste le plus actuellement à savoir Joseph Gordon-Levitt et Eddie Redmayne qui sont assez insupportables à jouer les gens "propres sur eux". En fait aucun des personnages n'existe vraiment, ils ont beau se chamailler un peu sur les différents types de révolution ça reste tous des patriotes américains qui ne proposent aucune réflexion vraiment profonde sur la société américaine et sur le pouvoir en place. Préférences cookies | S'ils sont tous à féliciter pour ces joutes (la valeur ajoutée de Sorkin), Sacha Baron Cohen et Mark Rylance sont à mes yeux les plus impressionnants du lot. Le projet des Sept de Chicago date de plus d'une décennie. Gagarine, The Nest, Falling. Ex. On connaissait depuis longtemps Aaron Sorkin en tant que virtuose de l'écriture. ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄. Finalement, après moult péripéties, on en est arrivé à nommer le scénariste réalisateur du film et à caster d'autres acteurs, pour un film plus ambitieux.
épouse Bernard Poirette Et Sa Femme, Liste Des Chaînes Sfr 2021, François Lenglet : Macron, Magazine Petit Jardin Calendrier Lunaire Septembre 2020, Journaliste Bfmtv Femme Soir, Fil Rouge Restaurant, Numero Uno Pizza History, Poème Sur L'absence,