:), Avez-vous déjà eu une expérience de vie en Communauté ? à la fin, on ne sait même plus où est le bien et où est le mal, ou mieux, cette distinction se réduit à une seule question parfois angoissante : obéir ou désobéir à la Vierge, ce qui équivaut quelque part dans lâinconscient à vivre ou mourir, être sauvé ou être damné. La prieure générale, quand je lâai connue, dépensait des milliers de dollars pour lâachat de tissus précieux chez un marchand syrien de la vieille ville de Jérusalem. Puis je ne crois pas qu’il parle de la vérité de Bethléem. Là je defend le Christ et pas toutes les paroles en accord ou desacord. Miriam, Vous êtes la passerelle vers le ciel, Merci Fabio de votre réponse. http://www.cite-catholique.org/viewforum.php?f=130, Une discussion est en cours à propos du document de Fabio B. Je ne pense pas qu’il faille accabler Fr Silouane qui est une personne adorable, pour le contenu de son droit de réponse même s’il en porte une certaine part de responsabilité. De saint Pâcome (IVe siècle), que l’on tient pour le fondateur du cénobitisme, jusqu’à nos jours, l’Eglise catholique romaine compte seize siècles d’expérience en matière de vie religieuse. Lorsque début 2011, Mgr Carlo Maria Viganò, secrétaire du gouvernorat depuis 2009, avait dénoncé la corruption rampante au Vatican en citant des dérives de certains prélats et fonctionnaires, il avait été écarté et envoyé à la nonciature de Washington. Câest ce qui distingue Bethléem de toute autre famille religieuse dans lâÃglise, du moins câest ainsi quâon nous la présentait. Les légionnaires du Christ sont des experts dans ce domaine. Elles dissertent sur le saint silence, surtout celui de mon Fils durant sa passion, mais cherchent à se défendre lamentablement, et à coups de menaces, quand enfin leurs pratiques déviantes et subtilement perverses sont mises au grand jour. SÅur Isabelle m’a accompagné dans ce départ, je ne suis absolument pas devenur "personna non grata à ses yeux. Une cellule de crise a du être montée en urgence pour élaborer une réponse. Jésus est venu, c’est Lui et c’est TOUT !!! Où il y a des hommes il y a du péché. Pourquoi ? Je me base sur le récit qui mâa été fait par celui qui à lâépoque était le prieur général des frères et qui a quitté la communauté quelques mois après moi, en décembre 2009. N’est pas ratée donc la vie de celui ou de celle qui a quitté une communauté comme Bethléem. Mais globalement, je ne suis pas sûr qu’un autre médecin aurait été plus clairvoyant…. Elle ne souffre plus de souffrir. Dans l’Evangile presque rien sur la mère de Jésus : donc super facile de broder autour !! Monsieur Léger a voulu s’assurer que vous n’étiez pas en train d’utiliser des mensonges pour casser la crédibilité des témoins. Et en mesure de me demander si considérer que Marie n’a pas de pensée propre ne revient pas à dire que « Je est un Autre », ce qui est la définition même de l’aliénation, à la Rimbaud, ainsi définie dans le dictionnaire Larousse : « état de quelqu’un qui est aliéné, qui a perdu son libre arbitre » ou « situation de quelqu’un qui est dépossédé de ce qui constitue son être essentiel, sa raison d’être, de vivre. Soeur Dominique, était mon cauchemars pendant des années encore après mon départ. des exigences disproportionnées dans la vie contemplative. Venant d’anciens religieux(ses) cette apparence de haine fait froid dans le dos. Un jour, je disais avec tristesse à un prêtre : « jâai gâché ma vie, et je nâaurai pas dâenfants. Avez-vous creusé la question ? Dans le code de droit canonique de 1983, on peut lire : Can. b) Un brin de collégialité assouplit le cuir des communautés. je reconnais parfaitement là les manÅuvres de Bethléhem. Je tiens à signaler que plusieurs fois j’ai fait un courrier aux sÅurs du conseil sur des dérives en paroles entendues ici ou là particulièrement antisémite d’un niveau tel que je n’ai pas pu me taire et souffrir en silence. Toutes les religieuses accomplissent leur travail en solitude. Puis les institutions apostoliques de lâÃglise : prêtres de paroisses, communautés apostoliques, évêques ou toute autre forme de réalités ecclésiales, jugées trop pastorales, trop modelées sur le monde, trop pauvres en spiritualité. Je parle ici de faits vécus et dont jâai été témoin avec dâautres qui pourraient témoigner eux aussi, de faits que tout le monde connaît à Bethléem mais dont personne nâose parler par peur de pécher contre la sacro-sainte unité. Je nâavais plus dâintériorité. Et cela depuis tant d’années…, Nous n’entendons pas cela dans les Carmels, chez les Charteux, chez les bénédictines, les cistercienes(nes) etc…. Le petit peuple de Dieu n’a pas toujours les moyens d’aller à Rome se faire entendre. Ce principe « éthique » est le premier à être transmis quand quelquâun arrive au monastère. Cependant, je dois ajouter quelque chose : votre message me trouble. Elles sont le signe que la vie spirituelle mérite prudence et discernement et qu’à défaut de tenir ses promesses de bonheur elle peut devenir le lieu de toutes les manipulations et apporter larmes et souffrance. Je nâavais aucunement à les solliciter, ils venaient spontanément me voir ou mâécrivaient un petit mot. L’Hème vient du sang des globules rouges & beaucoup de cÅurs ont saigné dans des groupes du renouveau . Malheureusement Bethléem a connu cela aussi. Ce chemin avec Marie m’attire….. Pour la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), il sâagit dâun « dévoiement de la liberté de pensée, dâopinion ou de religion » qui se caractérise par « la mise en Åuvre, par un groupe organisé ou par un individu isolé (â¦) de pressions ou de techniques ayant pour but de créer, de maintenir ou dâexploiter chez une personne un état de sujétion psychologique ou physique, la privant dâune partie de son libre arbitre ». Oui, je l’ai retiré. Par ailleurs, lâélaboration se faisait progressivement, sur la durée et au fil de la réflexion. Tout en nâétant pas gravement malade, elle ne participait que très très rarement aux liturgies de sa propre communauté. Peut-être réduisez vous l’abus à l’abus sexuel. Vous n’avez donc sans doute pas dû avoir beaucoup l’occasion de fréquenter l’ancien prieur général des frères après la mort de sÅur Marie ? D’autres témoignages sont nécessaires. En même temps Chantal, si St Bruno a écrit cette lettre à Raoul le verde, c’est qu’il a bien vécu cette expérience et gouté à la vie au désert (et bien plus que 3 jours ou une semaine). Ceci est très beau et on ne cesse dâen parler et de le présenter comme le mystère source de lâunité que Bethléem est appelé à vivre dans lâÃglise et pour lâÃglise. Le mépris de tout élément personnel, humain et particulièrement affectif, ce qui ne manque évidemment pas dâavoir des répercussions dangereuses sur la maturité et lâaffectivité des personnes. Ils sont passsés du psychisme au spirituel comme on passe de la terre au ciel ? On sait parfaitement que certains ont été pervertis dans leur milieu de vie et/ou par manque de formation ou d’accompagnement sain. ». Saint Bernard de Clairvaux ressemble aux Femen lorsqu’il se lamente de ne pas trouver de pasteur digne dans l’Eglise : Saint Pierre est-il un ultra lorsqu’il dénonce les faux-prophètes à l’intérieur de l’Eglise, en disant que : Sainte Catherine de Sienne ressemble-t-elle au Femen quand elle écrit dans ses Dialogues, à propos de la réforme des pasteurs : Saint Thomas More est-il un ultra lorsqu’il imagine un monde idéal d’où sont exclus les prêtres et les religieux qui « ronflent à leur place » et sont « inutiles à la société » ? A Bethléem cette sensation de clonage investit même lâenvironnement, les lieux et les espaces. Comment ne pas s’interroger sur cette brutale attaque après plus de vingt ans d’engagement ? Lâemploi du terme de « dérives sectaires » a permis dâéviter les ambiguïtés autour du mot secte, qui pouvait donner le soupçon dâune atteinte à la liberté religieuse. Messieurs vous le devez aux victimes qui non seulement doivent être reconnues comme telles mais doivent aussi pouvoir se dire que d’autres seront sauvées de cette « mort psychique » qu’elles décrivent bien. Nous continuons à nous étonner qu’une congrégation religieuse, qui prétend vivre à la suite du Christ, et donc dans la lumière de la vérité (Jn 3, 21), dissimule ses propres Constitutions (de 900 pages !). Amour de qui ou de quoi ? Mais apparemment, il préfère garder le silence, conformément à la réserve que je lui ai toujours connue …. J’avais vivement réagi sur cette page, surtout du fait qu’il y a 20 ans, j’étais présent à l’enterrement de soeur Myria, sans savoir la vérité sur sa mort, ce que j’ai donc découvert longtemps après, grâce au récit de Fabio. Je ne suis pas surprise quâune voix discordante sâélève dans ce forum pour se plaindre de démarches ressenties comme intrusives. La règle de vie de Bethléem a fait l’admiration de Benoît XVI et de Jean-Paul II. Il y a un pied de la lettre violent qui n’est pas dans l’esprit de l’évangile et dans une certaine tradition de l’Eglise pourtant. A l’extérieur du système, ces personnes qui l’ont quitté découvrent le prix de la liberté. Lâennemi ce nâest pas un homme, câest la société elle même : lâAdministration, la technocratie, la paperasserie, comme dirait Harry Tuttle dans Brazil. Il a ajouté : « Ce nâest pas sÅur âEmmanuelâ pour rien ! On ne peut que conclure quâau Vatican, ils ne sont vraiment pas sérieux ! Câest cela qui mâintéresse, ce moment où quelque chose dans la conscience morale dâun frère ou dâune sÅur connaît une sorte de scandale : voilà que le modèle de vie à qui tout le monde devrait se référer se révèle au contraire transgresser continuellement la Règle. Ce nâétait ni un délire ni des inventions gratuites. Ce qui est anéantissement de son humanité est appelé « naissance à une vie nouvelle ». je n’ai pas trouvé encore d’institution, partenaire, famille, qui n’en fasse pas. C’est la sÅur infirmière qui me donnait des somnifères », précise Véronique. Vous avez de la chance d’avoir repris sans problème une vie laïque, c’est loin d’être le cas de tous.. Par des moyens dont Il en a le secret, le Seigneur a fait passer cette direction spirituelle « par les larmes, le feu et le sang ». Je retranscris ici le premier de ces messages qui me furent adressés. ». Mieux vaut pour lui qu’il s’en aille plutôt que de perdre son temps. » Ou bien tout simplement de « se mettre au diapason des saints ». Ce que je remets en cause, c’est la solitude à Bethléem où le discernement est quasi nul , où vivotent et souffrent et s’abiment des personnes qui ne sont pas appelées à cette vie là . J’ai fait moi-même l’expérience de ce que ça veut dire quand un parent vient à apprendre ces choses. c’est malheureux mais c’est la seule solution : L’Eglise n’est pas capable par elle-même de faire cesser les dérives sectaires en son sein, elle les protège…. Au contraire, si je parle des frères c’est surtout pour évoquer l’ingérence des soeurs dans leur gouvernement. Pourquoi quittâtes-vous cet endroit où vous vous plaisiez ? L’Eglise catholique établit ces canons après seize siècles d’expérience et une congrégation vieille de cinquante se permet d’y déroger. Son milieu dâorigine : bien évidemment, plus ce jeune proviendra dâune famille aisée et influente plus la réponse sera positive et rapide. Mais je n’ai pas le sentiment qu’il ait manqué de respect. Le témoignage d’un prêtre : "Ne nous trompons pas de combat", Une réaction à la parution de l’article sur les Petits Soeurs de Béthléem dans le journal La Croix. Ensuite parce que toute organisation humaine porte son lot d’échecs, de souffrances, de jalousies, de méchancetés, de vengeances. Un grand ami de la communauté, avocat de la ville voisine et très connu par tout le monde là -bas, contacté par le monastère, sâest entendu directement avec la gendarmerie. Pour les très nombreux écrits de Bethléem, qui ont nécessairement contribué à votre formation, n’êtes-vous pas en mesure de citer in extenso, vous même, les plus remarquables à vos yeux, au lieu de les réclamer à d’autres ou de leur reprocher de les étudier - ce qui est différent de l’obsession- et de les évoquer, seulement après des heures de lecture ? Donc puisque beaucoup manquent dâhonnêteté intellectuelle en transformant mes propos et même en me faisant dire le contraire de ce que je peux dire je préfère me retirer et vous laissez à vos consciences : faites pour la vérité. C’est tout ce que je peux dire pour l’instant. Il est difficile de discerner si câétait lâamour du Christ ou la fascination de Bethléem. En conclusion, tout cela pour faire croire que lâEglise est - enfin ! Le point central est la messe quotidienne. Sa plus petite volonté personnelle exprimée ou seulement suggérée acquiert la force morale dâun commandement divin et dâun « précepte formel » à accomplir à nâimporte quel prix, sans discernement ni référence aux normes ecclésiales. ». Que l’Eglise fasse ce qu’elle n’a pas fait, car beaucoup des Evêques on été curtisés et alors on a fait le silence. Et à Bethléem, on le sait, car les lois dans l’Eglise sont très claires pour tous. Si vous souhaitez rencontrer Jésus, vous pouvez toujours rentrer dans lâéglise. Apparemment, nous avions oublié d’en retirer une. Jâai échoué comme bénévole au âPoverelloâ, une institution qui sâoccupe de sans abris. Oui, je suis donc responsable aussi. Pour cela cette personne qui témoigne n’est pas à blamer, elle ne connait pas la réalité de Bethléem. Il y en a même quelques uns qui disent que ce nâest pas Frère Silouane qui a écrit le “Droit de réponse”, mais SÅur Isabelle. : vous voyez les dégâts que cela peut causer ? et on peut les comprendre dans certains cas …, merci pour votre témoignage Une ancienne de Bethléem. Même un professeur de theologie & ex-spiritual au seminaire s´est moqué de moi et de ma plainte en face de cette brutalité affective pour ma mére de la part de Betléem - avant mon entré dans la communauté - il n´a pas vu aucune difference en comparaison avec une femme qui s´e marié dans l´etranger et change le pays !!!! réponse stéréotypée à toutes les interrogations existentielles. Et bien, on leur permettra de suivre une session de formation en dehors du monastère. Mais aussi à la Résurrection. Bizarre, le Xavier de ce matin s’est changé en Jean-Philippe… Pas grave, le msg précédent devient donc @ Jean-Philippe. Qui plus est, on a scrupule à rappeler cette simple évidence : Fabio B. ne connaît plus la vie des monastères depuis plus de cinq ans. J’avais peur de ne pas être acceptée », poursuit-elle. Dans la Règle de vie de la communauté de Bethléem la parole qui revient le plus, après Dieu, est le mot « liberté », avec tout son cortège dâadverbes et dâadjectifs. Mais, comme il l’explique clairement, la mère supérieure a du goût… pour les jeunes femmes, et elles se passent le vrai contrôle entre-elles. » Car on sait parfaitement que certains suicides s’expliquent ainsi, à la suite d’abus et du silence de responsables. C’est difficile for pour moi a croire et entendre. Vous avez de la chance je connais pas mal de communautés religieuses et Bethléem dedans est la seule qui soit une communauté nouvelle. On suit de la sorte à la trace, à plusieurs, le parcours intérieur accompli par chaque participant. Lui-même en recevait quotidiennement pour lui-même ou pour la plupart de ses frères.
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